Jour de pluie avec Henry Miller


En 1969 j'ai lu Henry Miller : la « Crucifixion en Rose » 

(Sexus, Plexus et Nexus), « Peindre, c'est aimer à nouveau » et le « Colosse de Maroussi ».

Certains passages m'ont parlé et je les ai copié, à la main ou à la machine à écrire. J'ai adoré !

C'est vrai que les photocopieuses en étaient à leurs balbutiements (bain liquide!)

Un week-end pluvieux, j'ai joué avec ses textes et mes images.


Certaines personnes reprochaient à Henry Miller d'être trop sulfureux, d'autres trop philosophique.

C'est clairement l'artiste-philosophe qui m'a séduit à cette époque.